Last sunday, I had the opportunity to give a conference to the OrangeFab Israel last batch of Startups to share my vision, as a founder and investor, on what’s a good startup.
I’m giving tips for both startup founders and investors.
Please find my slides below and don’t hesitate to comment it if you don’t understand a part of it!
Excellent, merci.
[…] Parler des bénéfices de vos produits et pas des caractéristiques produits (vu sur une présentation de Jérémie Berrebi). […]
Ce pense-bête est bien joli mais quand vous présentez un technologie de rupture répondant à ces critères : une passion personnelle, utile pour soi comme pour l’ensemble de la planète – répondant à un besoin énorme, visant des milliards d’ordinateurs, réclamant un faible investissement vu que le proto tourne déjà et peut même être vu sur Youtube – la totalité des investisseurs – Kima inclus ! – répond “Non” sans la moindre explication. Et surtout sans demander à voir ou tester le proto !
On a vraiment l’impression d’être entre les mains de financiers absolument étrangers au besoin du marché. A moins peut-être que la technologie que je présente relevant de l’informatique et permettant de se passer définitivement d’informaticiens, elle indispose les informaticiens qui analysent les projets informatiques… Ils ne veulent surtout pas la voir fonctionner !
Tout le monde se doute qu’il y a une énorme résistance à l’innovation de rupture de la part des professionnels déjà en place. Mon domaine c’est l’intelligence artificielle. Vous êtes-vous demandé pourquoi il se dit partout qu’elle a échoué ? Parce qu’elle a réussi ! Le buzz sur le sujet est fait par les chercheurs informaticiens, pas par les clients, et les informaticiens veulent absolument que le marché l’ignore, allant jusqu’à supprimer des articles entiers sur Wikipedia. A quoi sert un ordinateur intelligent ? A permettre le dialogue intime entre les utilisateurs et leurs machines, sans intermédiaires, comme deux humains causant entre eux… Une communication qui permet aux ordinateurs de comprendre les besoins de leurs utilisateurs, de programmer à leur place, d’apprendre et de s’améliorer sans cesse et même de faire de la recherche pour eux, exactement comme un robot de SF tel que l’a défini Asimov. Fini Windows, la souris, le clavier et même l’écran… Devinez qui ça défrise ?
Le vrai fonds d’investissement orienté nouvelles technologies devrait être là pour permettre à ces technologies révolutionnaires d’émerger. Au lieu de cela, il vous enferme dans un carcan montrant qu’il n’a rien compris à l’innovation de rupture : réclamer un business plan impossible puisqu’il n’y a pas de concurrence, que l’étendue du marché est inconnue et que le produit peut la faire exploser. Et ensuite, le rejeter sans explication.
Pendant ce temps-là, la planète attend !